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Vie sentimentale compliquée

Vie sentimentale compliquée

Changements, bouleversements, crises

« Ma vie sentimentale est un échec » …

 

Vie sentimentale

Vie amoureuse compliquée, rupture sentimentale, relation toxique, pervers narcissique, les situations ou les mêmes profils de partenaires se ressemblent, les histoires se répètent !
Dans certains cas, les relations amoureuses ne sont jamais de belles histoires, elles ne peuvent perdurer…

Une prise de conscience et une modification de votre comportement sont nécessaires.Vos choix ne correspondent pas à vos attentes car ils répondent à des schémas inconscients.

Prendre un rendez vous

Que vous cumuliez les relations insatisfaisantes, peut être toxiques, que vous avez subi une séparation dont vous n’avez pas compris les causes, que vous optiez pour des partenaires placebos…Tous ces « échecs à répétition ne font que vous renvoyer « Je ne suis pas « aimable » Je ne mérite pas d’être aimé Le bonheur, c’est pour les autres, je ne veux plus souffrir,ça ne marchera jamais…
A l’aide d’un accompagnement adapté, vous aurez vite toutes les réponses afin que vous fassiez un choix en adéquation avec ce que vous attendez réellement, et serez prêt(e) pour une belle histoire.

Rupture amoureuse

Une rupture amoureuse est souvent douloureuse, déstabilisante, vous êtes à fleur de peau, vous perdez votre équilibre, votre rationalité, vos repères, votre monde bascule, s’effondre, vos projets s’envolent, votre futur disparait, vous avez du mal à vous projeter, votre vie n’a plus de sens, vous doutez de vous, de rencontrer de nouveau le bonheur et l’amour. C’est une période difficile, mouvementée où se mêlent tristesse et colère.

Je peux vous accompagner, vous soutenir afin que vous traversiez cet orage, vous aider à passer ce cap difficile, à le dépasser en fait, et vous allez en sortir grandi.
L’important est de comprendre, de se comprendre, de se poser les bonnes questions, d’accueillir cette rupture, de l’analyser, de découvrir ses motifs profonds, et…de se reconstruire autrement riche de cette expérience et du travail effectué sur soi, reboostez pour aborder une vie différente.

Liaisons dangereuses, toxiques, néfastes

Personne maltraitée, ou maltrante… Certaines des peurs qui nous habitent vous poussent à subir ou agir en fonction de shemas inconscients.
Une attitude, une réflexion, un geste, ne vous paraissent  pas « acceptables » ; si la personnalité de votre partenaire, de vos amis, d’un membre de votre famille, change en fonction de l’entourrage, du contexte, si vous vous sentez manipulé(e), si vous vous rendez compte que vous êtes de plus en plus isolé(e)…CONSULTEZ, demandez de l’AIDE au 3919 Violences conjugales
Vos droits…

On en parle de plus en plus en c’est tant mieux. Pourtant on a souvent tendance à qualifier de pervers narcissique le patron envahissant, l’ami un peu présent, le père autoritaire, le partenaire égoïste.
Dix points pour repérer un vrai manipulateur sans se tromper :

1. Le pervers narcissique est un séducteur hors-pair :

Il sait vous séduire, vous dire ce qui vous plaît et ce que vous voulez entendre. Dans une relation amoureuse, il est l’homme idéal, le prince charmant attentionné et vous comble… jusqu’à ce qu’il se révèle odieux.

2. Le double visage :

Il choisit une cible qu’il séduit puis lui rend la vie infernale.

3. L’utilisation de la violence :

Elle fait partie des techniques d’intimidation et d’humiliation du pervers narcissique envers sa victime. Les critiques sont permanentes en public (toujours en finesse) ou en privé. De la violence verbale à la violence psychologique permanente, le manipulateur franchit parfois la barrière de la violence physique.

4. Isoler et diviser pour mieux régner :

Pour être parfaitement sûr que sa victime reste sous sa coupe, le pervers narcissique coupe peu à peu tous les liens qui unissent la victime à ses proches, ses collègues, ses amis, sa propre famille jusqu’à ce que l’isolement soit total.

5. L’attrait immense pour l’argent :

On considère souvent les pervers narcissiques comme des maniaques de l’argent. À juste titre, car au delà de la possession et de l’humiliation de la victime il s’octroie largement les revenus de sa victime afin de la contrôler davantage.

6. Les phases de « lunes de miel » :

C’est le terme employé pour montrer que le pervers narcissique revêt régulièrement son masque de séducteur pour faire retomber la victime dans ses filets. Non, il ne change pas. Non, il ne demande pas réellement pardon. C’est seulement un outil de manipulation !

7. Le pervers narcissique est dénué d’empathie :

Le trait de caractère ou plutôt cette perversion de la personnalité est typique. Il ne ressent rien en voyant sa victime souffrir ou se détruire, il éprouve même une certaine jouissance à la voir dans la détresse.

8. Le mensonge au quotidien : 

C’est pathologique chez les pervers narcissiques. Ils mentent en permanence pour se faire valoir, être flattés, admirés et aimés par leur entourage. Car c’est cela qu’ils cherchent avant tout. Ils s’attribuent parfois même les qualités et succès de leur victime tant la soif de reconnaissance est grande.

9. Les déviances sexuelles :

En couple, le pervers a des demandes sexuelles de plus en plus exigeantes, de préférence avilissantes parfois violentes.

10. Intelligent, il est souvent paranoïaque :

Excessivement méfiant, il surveille étroitement sa victime, relations, téléphone, mail, conversations, horaires…

Maylis Guillier

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Confiance en soi, timidité, peur du jugement, peur du rejet

Confiance en soi, timidité, peur du jugement, peur du rejet

Développer ses forces

Confiance en soi / Timidité / Peur du regard des autres / Estime de soi : Ce n’est pas une fatalité

Vous vous mettez la pression à la hauteur de l’enjeu, malheureusement celui-ci est très souvent surévalué.

Ces thèmes sont liés : si vous gagnez de la confiance en vous, vous dépassez votre timidité, n’accordez plus d’importance au regard des autres ni d’être rejetté et vous êtes fier(e) de vous. Ils se traitent individuellement ou de concert, sachant que l’un entraine l’autre, il est donc judicieux d’aborder tous les thèmes afin d’identifier celui qui pose problème.

Le manque de confiance en soi créé un mal-être, vous bloque dans vos rapports aux autres, en amour, en amitié, en affaire, ne vous permet pas d’être ce que vous sentez vraiment être au fond de vous… Vous avez les capacités de vous réaliser, mais vous avez du mal à franchir le pas, vous vous limitez, vous n’osez pas…

La confiance en soi est une qualité rare dont le manque porte préjudice à la qualité de la vie de nombreuses personnes.

Certains en ont beaucoup trop, d’autre en manque cruellement, la confiance en soi se construit dans l’enfance, si vous ne l’avez pas développé pendant cette période, nous allons pouvoir travailler ensemble pour la faire grandir.

D’autre part, certains évènements douloureux, des périodes difficiles ont pu vous déstabiliser et vous faire perdre la confiance que vous aviez en vous, nous allons donc travailler pour la retrouver et la consolider. Acquérir ou retrouver de la confiance en soi est beaucoup plus facile qu’il n’y parait.

La confiance en soi, c’est avoir un sentiment de sécurité vis-à-vis de sa propre personne, avoir confiance en son potentiel, ses capacités et ses ressources. C’est se considérer comme apte à affronter, de manière générale, les situations qui nous entourent !

La confiance en soi est indispensable pour atteindre ses objectifs, et ainsi, réaliser ses rêves. Toute réussite commence dans la tête. Ce que nous pensons impacte profondément sur ce que nous faisons. Le fait de se sentir capable fortifie considérablement la mobilisation de nos ressources et de nos capacités. Celui qui pense réussir se donne plus facilement les moyens de réussir. La confiance en soi a donc un réel impact sur votre motivation.

Avoir confiance en soi, c’est se savoir en mesure d’affronter une situation, et donc ressentir un sentiment de sécurité vis-à-vis de cette dernière. Ce sentiment de sécurité permet d’agir mieux, et dans de meilleures conditions. Il évite, ou tout au moins atténue, le stress, la peur ou l’anxiété, qui sont de réelles barrières à l’épanouissement et à l’exploitation de ses compétences.

L’analyse de personnalité vous permettra de prendre connaissance de votre potentiel, de vos capacités, de vos ressources.

La PNL nous permettra de travailler sur vos croyances limitantes, sur la prise de conscience de votre potentiel, et définir un ou des objectifs précis

L’hypnose nous permettra d’agir sur votre inconscient et d’ancrer les résultats de notre travail en profondeur.

Résultats escomptés

  • Prendre conscience de la personne que vous êtes même si vous dites le savoir
  • Vous vous « aimez »
  • Utiliser toutes vos qualités et travailler vos « défauts » afin de mieux les exploiter
  • Exprimer vos idées, vos opinions
  • Savoir dire « NON »
  • Avoir conscience de ce que vous êtes capable de faire et l’exprimer
  • Avoir conscience de vos valeurs et l’exprimer
  • Avoir de nouveaux objectifs
  • Réaliser ces nouveaux objectifs
  • Passer à l’action sans se soucier du regard des autres
  • Être soi et être heureux de l’être
  • S’affirmer

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40 ans et alors ! Même pas peur !!! Madame, Monsieur, Le couple !

40 ans et alors ! Même pas peur !!! Madame, Monsieur, Le couple !

Changements, bouleversements, crises

Plus particulièrement chez la femme

Chez la femme, la crise de la quarantaine est plutôt liée à la sphère personnelle, le départ des enfants, se sentir inutile, ne plus trouver sa place ou son rôle, l’approche de la ménopause, le fait de ne plus pouvoir procréer, la peur de vieillir, de ne plus plaire, de voir son corps changer, de perdre sa féminité et d’être moins désirable, peuvent être mal vécu et entraînent souvent une remise en question.

Plus particulièrement chez l’homme

Chez l’homme, la crise est souvent déclenchée dans un premier temps dans la sphère professionnelle : après une remise en question, un licenciement, une perte de sens ou une impression de stagner dans sa vie professionnelle. Ses aspirations professionnelles changent, il veut souvent se sentir plus valorisé dans son travail. Par ailleurs, il éprouve aussi  le besoin de raviver un pouvoir de séduction ou de se conforter dans sa capacité à plaire.

Le couple

Dans les deux cas, le couple peut être remis en question, il faut faire face aux petites disputes quotidiennes, les changements de comportement et aux dépenses plus ou moins inutiles, engagées par le changement de style vestimentaire, nouvelle voiture, nouveaux loisirs… Biensur, il n’y a pas de mal à se faire plaisir, et bien au contraire, à condition que ce soit des achats réfléchis et qui ne mettent pas en danger l’équilibre et les finances de la famille.

Ne reportez pas la faute sur votre conjoint : cette remise en cause émane de vous et votre mal-être est personnel.

Le partenaire de vie peut être un allié et un soutien précieux mais le gros du travail doit venir de vous. ! Consacrez des temps de dialogue avec votre conjoint : parlez-lui le plus sincèrement possible, communiquez vos doutes et vos peurs, faites-lui part de vos envies qui selon vous, pourrait permettre de retrouver un mieux-être à deux, et demandez-lui ce qu’il en pense.

Le conjoint, cependant, occupe une place très difficile et se sent mis à l’écart, et est souvent très démuni. Il peut se créer ainsi un décalage entre les deux partenaires. Même s’il peut aider et se montrer à l’écoute, il doit se dire que c’est à son partenaire de faire un travail sur lui-même. La situation peut aussi provoquer la peur de se retrouver seul, que son conjoint le quitte, parte vers de nouvelles aventures. Il faut souvent faire preuve de patience et accepter certains changements, sans que ce soit, bien évidemment au détriment de l’autre, du couple ou de la famille. L’aide d’une tierce personne comme un professionnel est souvent préconisée pour gérer au mieux cette période d’évolution, voir de changement dans le couple.

Les infilelités et le divorce, grands sujets de la crise de la quarantaine, ne sont pas un passage obligé, la peur de viellir, le besoin de séduire, le renouveau n’est pas forcément au près de quelqu’un d’autre que la personne qui partage votre vie, pourquoi ne pas, retrouver ou trouver un regain de « passion  commune », rajouter un peu de piment dans votre vie, vous redécouvrir autrement, remettre le couple au goût du jour, au centre de vos préoccupatons ; à cet age vous êtes désirables, expérimentés, libres et plein d’énergie…

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40 ans et alors ! Même pas peur !!! Les signes !

40 ans et alors ! Même pas peur !!! Les signes !

Changements, bouleversements, crises

Questionnement et remise en question :

Parmi les signes annonciateurs de la crise de la quarantaine, on peut observer :

L’impression, de vivre dans une routine qui oppresse, d’une perte de sens, d’avoir « gâché » une partie de sa vie…
L’apparition d’angoisses liée à la vie qui passe et sur laquelle on a pas de prise.
La rapidité des années qui se sont écoulées sans qu’on en ait eu réellement conscience et qu’on en ait profitées assez
Un sentiment d’impuissance face au temps qui passe…
Se sentir pris au piège dans un quotidien qui ne convient plus.
Un besoin de faire le bilan de sa vie, de trouver du sens ou de se remettre en question, de faire une introspection.
Une perte de confiance en soi,
Une sensation de devoir engager des changements rapidement
Une impuissante face à ses engagements professionnels et personnels.
Une grande lassitude du quotidien, de tout, de rien, comme une sensation d’être abattu
Un sentiment de vide intérieur et d’inconsistance.
Une susceptibilité exacerbée, une irritabilité vis-à-vis de l’entourage proche ou de son conjoint
Une envie de changement dans sa vie privée ou professionnelle
Un sentiment de colère contre soi, les autres, la vie
Un sentiment de déprime lié à un mal-être général
Une remise en question de tout
Une peur de l’avenir
Une anxiété pouvant aller jusqu’à des troubles du sommeil.
L’impression d’avoir passé son temps à remplir ses obligations.
Un certain mal-être existentiel
Une impression de stagner
Une impression d’être perpétuellement insatisfait(e)
Un manque d’entrain face à de nouveaux projets
Une insatisfaction globale
Une colère envers son partenaire, considéré comme coupable de bien des maux de l’autre
Apparition de négligence envers son couple, sa famille, son entourage
Besoin d’air, de temps, mais tout vous échappe.

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40 ans et alors ! Même pas peur !!! La crise de la quarantaine ?

40 ans et alors ! Même pas peur !!! La crise de la quarantaine ?

Changements, bouleversements, crises

Qu’appelle-t-on la crise de la quarantaine ?

La « crise de la quarantaine » ou « crise de milieu de vie » est une période de remise en cause, un état émotionnel transitoire, qui touche les hommes et les femmes entre 40 et 50 ans ; selon certains experts, elle toucherait 10 à 20% de la population occidentale.

Combien de temps ?

La durée de cette « crise » est variable et va dépendre de la forme et de l’intensité de celle-ci, ainsi que des moyens mis en place pour retrouver un mieux-être. Elle peut durer de quelques mois à plusieurs années en fonction des personnes.
Elle est extrêmement variable d’un individu à l’autre, cela dépend de sa personnalité, de son niveau d’épanouissement et de son parcours de vie.
Cette période temporaire, difficile pour certains, n’est pas un passage systématique.
« La crise » commence par une période de ras le bol, de doute, de remise en question, d’introspection, quelques fois d’intense désorientation. Elle peut s’exprimer par des angoisses existentielles, la prise de conscience du parcours de notre vie, de sa propre mortalité, elle peut se traduire par une simple déprime passagère ou entraîner des troubles psychologiques plus conséquents.

Pourquoi, comment ?

Une dévalorisation et une frustration qui s’est accumulée au cours des années, peut provoquer un ras le bol total, et conduire à des remises en question, par rapport à son travail, à son couple, sa vie en règle générale, souvent motivées par un mal être non expliqué, non exprimé, un ennui sans causes apparentes.
La crise de la quarantaine se manifeste entre 40 et 50 ans, tout simplement car aujourd’hui, les progrès de la médecine, une meilleure alimentation et une hygiène de vie, impliquent que nous vivons plus vieux, les enfants sont conçus plus tard, et prennent par conséquent leur indépendance dans cette période.
Arrivés au milieu de notre existence, consciemment ou inconsciemment, nous sommes amenés à faire le bilan des années passées, et à appréhender avec quelques fois avec angoisse la période à venir, à envisager « notre déclin » auquel nous n’avions pas forcément pensé jusque-là. Nous sommes donc enclin à nous poser de nombreuses questions, « Qu’ai-je accompli ? », « Me reste-t-il vraiment des choses à vivre ? », « Mon boulot me convient-il, finalement ? Mon couple ?» qui nous amènent à des prises de conscience, des questionnements et des pertes de repère…

C’est une période où tout bouge autour de nous, et surtout malgré nous ; la famille s’éparpille, nous sommes confrontés aux divorces dans notre entourage ou autre notre, aux maux, aux premières douleurs, au vieillissement de nos parents, à l’usure de notre couple, à l’arrivée de nouvelle génération dans notre monde professionnel ; notre corps, notre quotidien et notre environnement changent…
Tous ces bouleversements qui vous entourent ou vous concernent directement ne sont pas anodins, et entraînent un mal être plus ou moins profond, qui peut engendrer un changement de comportement..
La crise de la quarantaine s’installe progressivement au gré du temps, on en prend souvent conscience lorsqu’elle est déjà bien installée ; envahis par un sentiment de vide, de lassitude, d’ennui, d’étouffement, difficile à expliquer, on devient irritable, grognon, insatisfait, mal de partout et bien nulle part, habités par un sentiment d’impuissance, d’envie de se poser et de trouver un apaisement mais rien ne fonctionne, de faire le point, mais par quoi commencer, peu à peu la colère vous envahi contre vous, les autres… car s’il est aisé de changer de vie à 20 ans vers 40 ans les responsabilités nous rappellent souvent que nous ne pouvons pas agir à la légère.
Il n’est pas forcément nécessaire de changer de vie et de tout plaquer, mais simplement de procéder à de petits ajustements, reprendre des projets laissés en jachère, ne pas se laisser aller, prendre plus de temps pour soi etc.

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40 ans, et alors ! Même pas peur !!! 40 ans aujourd’hui…

40 ans, et alors ! Même pas peur !!! 40 ans aujourd’hui…

Changements, bouleversements, crises

C’est quoi avoir 40 ans aujourd’hui ?

Avoir 40 ans est une période de la vie où tout peut s’accomplir, où vous pouvez vous accomplir, vous affranchir…car vous êtes plus libres et vous avez rempli en grande partie, vos « obligations », vous êtes ni jeune, ni vieux, vous avez 40 ans d’expérience derrière vous et 40 ans de projets à construire devant vous .

Encore faut il en avoir conscience… La transition n’est pas si facile et peut être douloureuse, alors apparaît … « une crise de la quarantaine »
Toutes les crises (vous en avez traversé d’autres, la naissance, l’adolescence, l’adulescence) ont une solution. En trouvant son origine, vous pouvez alors identifier vos envies, les changements à opérer et aborder sereinement la cinquantaine.

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40 ans et alors ! Même pas peur !!! Crise de la quarantaine, Des solutions…

40 ans et alors ! Même pas peur !!! Crise de la quarantaine, Des solutions…

Changements, bouleversements, crises

Comment s’y préparer ? Comment la gérer ?

La solution vient rarement de l’extérieur, mais de vous-même :

Avoir à l’esprit que l’on peut se sortir de toute crise en en tirant profits, en ayant appris, mis en place, modifier, changer ….

En l’anticipant

Selon plusieurs études, cette crise surviendrait beaucoup moins fréquemment chez les personnes ayant changé de travail au cours de leur trentaine. Se donner de nouveaux challenges constitue un très bon palliatif à la démotivation globale ressentie à ce moment-charnière de nos existences. Aujourd’hui, faire toute sa carrière au même poste dans la même entreprise est rare. Aussi, envisager un bilan de compétences, ou déterrer nos envies les plus enfouies peut être une bonne idée pour s’épanouir à nouveau au quotidien et ne plus envisager l’avenir comme « le début de la fin ».

En procédant par priorités, non dans l’ugence et la panique

En parlant : En échangeant avec vos proches, un professionnel, vous pourrez ainsi vous rendre compte que chaque individu vit ce « passage » de façon bien différente,  partager son ressenti, ses envies, ce   sera peut être l’occasion de découvrir votre entourage autrement,. La quête de chacun lui appartient. Cela vous permettra, de vous ouvrir, à d’autres façons d’appréhender vos années à venir et de trouver un équilibre plus adéquat à votre épanouissement global..

En restant bienveillant avec soi-même : Inutile de se fujtiger, de culpabiliser

Ce n’est pas une maladie : simplement un état émotionnel passager.

Elle peut être nécessaire: C’est l’occasion de faire le point de ce qu’on a vécu, ce qu’il reste à accomplir et de ce que l’on veut vivre, et de comment on veut le vivre, Se remettre en question, Faire le point sur vos désirs profonds, se poser les bonnes questions.

Ajuster son quotidien

Ne pas céder au coup de tête : Prendre du recul. Pesez toujours le pour et le contre et faites mûrir vos décisions afin de ne pas « franchir les limites » fixées dans votre couple. Et ce, même si cela prend du temps et nécessite une grande patience.

S’il semble inévitable de faire un point sur la situation à certains moments de sa vie, une pause, une parenthèse dans ce rythme trépidant, cette course folle que nous avons mis en place année après année, peut vous permettre de vivre cette crise de la quarantaine avec plus ou moins de distance, en dédramatisant ce passage délicat, en l’envisageant comme un nouveau départ ou une renaissance, et pourquoi pas, en l’abordant avec humour et en vous l’appropriant afin de vous en servir comme tremplin pour envisager sereinement les années qui s’offrent à vous …

Cette crise passagère peut être abordée de deux façons, la première est d’attendre que ça se passe et plus ou moins subir… la seconde est de reprendre les choses en main afin de donner un nouveau sens, une autre direction, une nouvelle impulsion à votre vie… Vous avez des avantages non négligeables : vous êtes ni jeune ni vieux, vous avez 40/50 ans d’expérience, vous avez environ 40 ans devant vous, vous avez accumulé et mis de côté des envies, des désirs, des projets (non réalisés ou non réalisables par manque de temps etc), donc … c’est le moment où jamais, non ?

Pour aider à prendre ce « virage » avec douceur, il existe beaucoup de moyens à la portée de tous :

Accepter le mal-être et ne plus le subir : N’ayez pas peur de verbaliser vos angoisses ou vos frustrations et essayez d’en chercher les causes. Posez-vous les bonnes questions en y répondant avec honnêteté : est-ce que je me sens utile dans mon travail ? Ai-je accompli trop de choses trop vite ? Suis-je vraiment épanoui(e) dans mon couple ? Et dans mon poste actuel ?…

Développement personnel, si vous souhaitez l’aborder seul, il existe de nombreux ouvrages sur le sujet, des vidéos, des spectacles ; si vous souhaitez vous faire accompagner dans cette démarche, un professionnel pourra vous aider à traverser cette période et pourra aussi vous aider à :

Lister ses accomplissements. On a souvent tendance à pointer du doigt ce qu’on a mal fait et à se concentrer sur ses échecs,  il est important d’accepter ses erreurs mais il est tout aussi important de souligner ce que l’on pense avoir réussi dans la vie.

Donner un nouveau sens à sa vie. Réorganiser, réorienter, fixer de nouvelles priorités, des objectifs de vie.

Accepter que le temps passe : il y a potentiellement des rêves ou des projets qu’on ne pourra plus réaliser et il y a un deuil à faire par rapport à ça.

Faire de nouveaux projets en accord avec vos valeurs et vos aspirations profondes, et actuelles. Il est important afin d’être proactif et de ne pas subir sa vie.

Redéfinir votre place dans la société en ayant une vision axée sur le sens, le bien être, le ressenti, la sagesse, la transmission etc.

Cette « crise » n’est pas forcément un moment désagréable ; c’est l’occasion qui se présente à vous d’envisager les années qui viennent d’une autre façon.

Il ne s’agit pas de rester inactif, et d’attendre que les choses passent, en broyant du noir, dans ce cas en effet, il ne se passera rien d’intéressant dont vous pourrez être fiers. C’est pourquoi vous pouvez vous servir de cette « crise de la quarantaine » en la voyant comme plutôt un tournant de votre vie, un peu comme si vous étiez à la moitié d’un parcours, et que vous construisiez le parcours à venir ; comme une émancipation, une quête de mieux-être, une remise en question, une introspection, une mise au point pour un nouveau départ. Il s’agit ici de faire le bilan de sa vie passée, de ses expériences, de prendre du recul sur ce que l’on a réalisé, ce que l’on souhaitait réaliser, ce qui a marché ou pas, d’écouter ses désirs actuels, et d’adapter ce que l’on « est » aujourd’hui, avec nos nouvelles orientations, ambitions, projets, souhaits, désirs…Vous êtes riche de 40 ans d’expérience !

Vous pourrez ainsi reprendre le contrôle sur votre vie et de ne plus avoir le sentiment de la subir !!!

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1-Les addictions – Addict ou pas ?

1-Les addictions – Addict ou pas ?

Addictions

Qu’est ce qu’une addiction ?

« C’est lorsque l’usage récréatif d’une « substance » devient compulsif, lorsque l’habitude devient automatisme incontrôlable. »

On cherche aujourd’hui à cerner précisément le point de bascule, soit le moment décisif où la personne passe d’un usage récréatif d’une « substance » à un usage compulsif.
Cette notion de « comportement compulsif », autrement dit ce désir irrépressible de consommer une « substance » ou de pratiquer sans limite une activité, est l’un des 11 critères cliniques qui permettent de diagnostiquer ce trouble du comportement.

Le DSM V, 11 critères permettent de diagnostiquer une addiction :
1-Besoin impérieux et irrépressible de consommer la « substance » ou de jouer ou d’avoir « l’ » activité
2-Perte de contrôle sur la quantité et le temps dédié à la prise de substance, ou au jeu ou à l’activité.
3-Beaucoup de temps consacré à la recherche de la substance, ou au jeu, ou à l’activité.
4-Augmentation de la tolérance au « produit addictif ».
5-Présence d’un syndrome de sevrage, c’est-à-dire de l’ensemble des symptômes provoqués par l’arrêt brutal de la consommation, du jeu ou de l’activité.
6-Incapacité de remplir des obligations importantes.
7-Usage même lorsqu’il y a un risque physique.
8-Problèmes personnels ou sociaux.
9-Désir ou effort persistant pour diminuer les doses, le jeu ou l’activité.
10-Activité réduite au profit de la consommation, du jeu ou de l’activité.
11-Poursuite de la consommation malgré les dégâts physiques ou psychologiques.

On peut les classer en 3 « niveaux » :

Addiction faible = 2 à 3 critères
Addiction modérée = 4 à 5 critères
Addiction sévère = 6 ou plus critères

Quels sont les mécanismes neurobiologiques qui facilitent l’ancrage psychologique de ses comportements à risque ? Et quels sont les effets de l’addiction sur le cerveau humain ?

Qu’il s’agisse de sédatifs, de nicotine, d’alcool, de cocaïne, d’opiacés ou encore de cannabis, ces substances ont toutes des structures chimiques différentes mais leurs effets neuropsychologiques sont mêmes.
Toutes convergent vers le « circuit de la récompense ». C’est la porte d’entrée commune à toutes les addictions. Les substances addictives piratent littéralement « la machinerie du plaisir » de notre cerveau, plus précisément dans deux petites régions interconnectées entre elles, dont leurs fonctions essentielles est d’activer la sensation du plaisir, pour impulser des comportements bénéfiques à l’organisme, en fait « assurer la survie », la prise d’eau, de nourriture, le sexe et les relations sociales. Ces « récompenses » naturelles visent à renforcer l’association entre la sensation de plaisir et l’objet qui la procure. La dopamine (neurotransmetteur) a pour effet d’augmenter l’initiative, le plaisir sexuel, mais aussi l’agressivité ; les « drogues » augmentent d’avantage cet effet, ce qui explique l’effet addictif.

Un redoutable cercle vicieux
L’addiction va s’immiscer par ce canal du plaisir : toutes les drogues conduisent à augmenter la production de dopamine, elle procure un effet euphorisant, dès lors, la motivation liée au plaisir des récompenses naturelles perd de son importance au profit de la « drogue », qui assure une plus grande décharge de dopamine donc un plus grand plaisir. Néanmoins au fil de la consommation, le système de la récompense sollicité, s’affaiblit. Résultat : l’euphorie originale s’estompe, le cerveau se retrouve piégé dans un redoutable cercle vicieux où la consommation de « drogue » doit sans cesse augmenter pour retrouver le même niveau de plaisir.

La seule recherche de la sensation de plaisir n’explique pas tout. Il faut donc déplacer le regard en amont de la prise de substance, et tenter de comprendre ce qui conduit à répéter irrésistiblement le même geste, la transition vers l’addiction se traduit par la mise en place de comportements automatisés et incontrôlables, en quelques sorte, une habitude de la perte de contrôle de soi où l’ensemble des processus cognitifs permettant de guider nos actions et pensées en fonction des buts à atteindre, n’excent plus aucun contrôle.

L’absorption d’une drogue est souvent liée à un contexte particulier, comme la cigarette avec le café, un verre d’alcool dans une fête… conduisant le cerveau à mémoriser l’association entre les deux, un peu à la manière d’un réflexe pavlovien (Geste ou acte effectué par une personne après l’avoir habitué à réagir d’une façon précise à un stimulus) ; si bien que l’expérience du contexte seul, café, fêtes, peut susciter automatiquement le désir de consommer la « substance » qui lui est habituellement associée.

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2- Les Addictions – Astuces pour votre préparation au changement

2- Les Addictions – Astuces pour votre préparation au changement

Addictions

Vous êtes en mesure maintenant, de connaître votre niveau d’addiction, faible, modérée ou sévère, selon les 11 critères du DSM V, (vous pouvez les retrouver dans l’article précédent intitulé « 1-Les addictions – Généralités ».
Fort de ce que vous avez découvert, et pris conscience, vous pensez, envisagez, souhaitez, voulez ou avez décidé, de diminuer, peut-être même stopper la substance à laquelle vous êtes addicts. Sachez que le fait de conscientiser que vous aimeriez vous défaire de ces « mauvaises habitudes » qui se sont installées pour une multitude de raisons, est déjà le premier pas.

Le fait de conscientiser et d’attendre pour « x » raisons, crée un conflit « intérieur » et provoque un mal être supplémentaire qui engendre de la culpabilité, vous renvoie à « je décide mais n’avance pas », « je voudrais bien mais je n’arrive pas à franchir le premier pas », « mon entourage ne cesse de me parler du fait, que je devais arrêter de … », « je me suis engagé mais je ne tiens pas ma promesse », « je ne réussis jamais ce que j’entreprends » … donc « passez à l’action sans tarder ».

Le fait de décider est de ne pas avoir l’impulsion de passer à l’action soit « procrastiner », est simplement un blocage, une barrière, qu’il suffit de franchir, « faites vous aider », car si vous ne l’avez pas franchi jusqu’à ce jour, ce n’est pas par manque de volonté, ni courage, ni envie, c’est simplement parce que « vous ne le voyez pas consciemment ou pas », « vous ne savez pas de quel façon débloquer, franchir… », « vous vous posez des questions pour après »…

La façon dont évolue une addiction est propre à chaque personne, il n’y a pas de généralités possibles, c’est pour cela que certains réussissent la première fois et d’autres la seconde … et encore d’autres la quatrième… et alors ! on ne fait pas un concours ! Il s’agit de VOTRE envie, de VOTRE santé, de VOTRE bien-être, de VOTRE mieux vivre ; l’ancrage de l’addiction varie selon l’histoire de la personne, son ressenti, son milieu, son stress, sa fatigue, son mode de vie …
Une seule chose peut enclencher le processus : La décision d’hier est confirmée par une prise de rendez vous aujourd’hui, action/réaction ; après avoir pris rendez vous, prévoir et organiser à VOTRE façon VOTRE changement d’habitudes en mettant en place des petites astuces.

Astuces pour votre préparation au changement

Quelques petites astuces pour diminuer voir stopper une addiction, plus exactement comment faire pour éviter de provoquer et déclencher « cette habitude » qui est devenue peu à peu « un automatisme », « un reflexe » et vous préparer « sans …. ça » mais « avec… autre chose ».

1- Avoir une motivation : se créer une récompense
Exemple : s’offrir un beau cadeau avec les économies réalisées, voir sa santé s’améliorer, …

2 – Se faire aider, soutenir ou accompagner : les causes d’une addiction sont multiples, et ancrées en vous sans que vous en soyez conscients et sans que vous puissiez ne serait-ce qu’imaginer que ceci a engendré cela. D’autre part, cela vous apportera « des moyens » supplémentaires, pour gérer le stress provoqué par un « changement d’habitude », la culpabilité, provoquer « le déblocage » tant espéré, évincer « la cause profonde », … D’autre part, vous avez certainement déja essayé seul mais vous n’avez pas forcément les clefs.

3 – Changer ses habitudes : faire en sorte que l’automatisme ne se manifeste pas
Exemple : changer son itinéraire, modifier son emploi du temps…

4- Trouver un nouvelle « objet de désir, de plaisir » : habituer son cerveau à autre chose qui lui procure du « plaisir », il ne s’agit pas que ce soit compliqué et contraignant (vous allez très vite vous en lasser) il convient donc de remplacer « l’habitude » par quelque chose de facile et pratique et de prévoir (6 possibilités) « plus » que « pas assez » pour que vous ayez le choix.
Exemple : Pendant la pause peut-être par un bonbon sans sucre de préférence à la menthe ou au réglisse, un verre d’eau, un fruit, lire et envoyer ses textos, ou le chapitre d’un livre, marcher … par un petit moment qui vous procure de la joie, une promenade, une activité de détente, prendre soin de soi., jardiner, lire une histoire aux enfants, se raconter des blagues, discuter, profiter de l’instant…

5- Ne pas se flageller, ne pas se faire violence, être à l’écoute de soi, ne pas baisser les bras, ne pas s’exclure de son entourage (sauf si c’est un désir profond).

6- Si vous avez un entourage bienveillant et susceptible de vous encourager et de vous soutenir, et que vous avez envie de partager cette expérience avec eux, alors parlez leur en !

7 – Si votre démarche vous est « propre » et que vous souhaitez ne pas en parler à votre entourage, alors vivez cette expérience et gardez la pour vous pour l’instant.

8- Si vous êtes sollicités, plutôt dire « Non, je n’en ai pas envie aujourd’hui » que « j’essaie d’arrêter », vous n’avez pas à justifier vos choix !

9- Diminuer « les doses » pour déshabituer petit à petit votre cerveau, c’est-à-dire qu’il intégrera progressivement « qu’il a la même dose de plaisir mais autrement ».
Exemple : Je décide aujourd’hui que je ne fume plus dans la voiture… et chaque fois que je ferai un trajet en voiture, je mangerai un bonbon à la menthe forte que j’ai toujours dans mes poches, mon sac à main, la boite à gant, sur le siège passager, à portée de main … Très vite, voir le soir même, vous vous direz « qu’elle ne sent pas du tout bon » du coup votre plaisir sera de vider au plus vite le cendrier, voir de la nettoyer …
Je décide aujourd’hui de ne pas prendre mon verre d’alcool avant le repas, que je m’offre en guise de détente bien méritée après une habituelle dure journée, j’en profite pour rester un peu dans le jardin, flâner, réfléchir, désherber, cueillir, ramasser…
Je décide aujourd’hui de ne plus fumer de joints le soir, afin de me détendre et de clore la journée calmement, j’en profite pour échanger ou partager avec mes proches, je fais une séance de méditation, je rêve et me projette …
Pour une raison qui m’appartient, je décide aujourd’hui de faire « autre chose »… «autrement»… dont je tirerai, en plus la satisfaction de l’avoir choisi.

10- S’adapter à cette « nouvelle façon de vivre », non pas « je remplace une addiction par une autre ».
Exemple : Trouver 6 nouvelles possibilités réalisables (pour que selon les situations vous ayez le choix), comme modifier son alimentation, ses activités physiques : Je mange autant mais plus light, je grignote mais sans sucre (pas « allégé en sucre), sans gras, je mange moins mais plus équilibré, je découvre le sport ou les activités de relaxation, je reprends « une activité » que j’ai délaissée, je revois des personnes que je ne voyais plus, j’organise différemment afin de limiter le stress du « je suis débordé », j’apprends à dire « non » ou « oui »…

11- La finalité ? A chacun la sienne…
Exemple : Retrouver VOTRE liberté, en fonction de VOS choix, non pas ceux dictés par votre cerveau, à l’aide de vieux automatismes bien ancrés qui n’ont plus lieu d’être aujourd’hui !

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3 – Les addictions – Comprendre le mécanisme, évaluer le côut, trouver sa motivation

3 – Les addictions – Comprendre le mécanisme, évaluer le côut, trouver sa motivation

Addictions

Mettez toutes les chances de votre côté ! Même si elles paraissent « anodines, déjà vues et entendues, évidentes, le pot de fer contre le pot de terre » Ok peut-être ! Ne pas essayer c’est déjà être vraiment sûr de ne pas réussir ! Non ?
Trois premières astuces, pour diminuer voir stopper une addiction, plus exactement comment modifier votre comportement, (donner de nouvelles infos à votre 🧠) afin d’éviter de déclencher « cette habitude, automatisme, réflexe ».

On se lance ? On se lance !

1- Quelle association fait votre cerveau : Détourner les automatisme
Exemples :
« J’ai un coup de fatigue = je prends un café »
Lorsque vous faites cela, qu’est ce qui vous motive, le fait de vous recharger en énergie ou prendre un café ? Le fait de vous lever et de marcher pour faire une coupure, ou le fait de prendre une boisson ou le goût du café ou le fait que vous associez (consciemment ou inconsciemment) Café = énergie
« Je fais une pause = je prends une cigarette »
Lorsque vous faites cela, qu’est ce qui vous motive, la pause ou l’envie de cigarette, ou le fait que vous associez (consciemment ou inconsciemment)Pause = cigarette
« Je rentre à la maison après une journée bien remplie = je m’installe dans mon canapé et me sert mon verre d’alcool préféré pour me détendre en attendant le repas »
Lorsque vous faites cela, qu’est ce qui vous motive, être rentré à la maison, faire une pause confortablement installé, vous détendre en prenant un verre, ou le fait que vous associez (consciemment ou inconsciemment) détente = alcool
 » Pour passer une bonne soirée = je fume un joint »
Lorsque vous faites cela, qu’est ce qui vous motive, gérer votre stress, la qualité de soirée ou fumer un joint, ou le fait que vous associez (consciemment ou inconsciemment)
Bonne soirée = joint
« Pour être plus performant = je me « dope » quotidiennement »
Lorsque vous faites cela, qu’est ce qui vous motive, vous dépasser, être le meilleur, être performant, remporter un contrat, faire encore plus, un gain d’énergie, une stimulation ou la prise de la substance, ou le fait que vous associez (consciemment ou inconsciemment)
performance = dopage

2 – Combien vous côute votre addiction : Evaluation du budget annuel attribué à « l’addiction » en question
Exemples :
A raison d’un paquet de cigarettes par jour 10 euros X 365 jours = 3650 euros
A raison d’un bouteille d’alcool fort par semaine 30 euros X 52 semaines = 1560 euros
A raison d’une bouteille de vin par jour 6 euros X 365 jours = 2190 euros

3 – Trouver SA motivation : VOUS choisissez qu’elle sera VOTRE récompense, celle qui vous procurera le plus de plaisir, satisfaction, fierté…
Exemples :
– Motivation santé : récupérer mon capital santé pour profiter pleinement de la vie, de mes petits enfants, réaliser d’autres projets etc…
– Motivation économique : 3650 euros un voyage, un bijou, agencer le jardin comme je l’imagine depuis longtemps, faire refaire mon bureau, un vélo électrique pour suivre la famille etc…
– Motivation projet à plus long terme : j’ai en tête le projet de changer de métier et n’ai jamais eu le budget pour me payer la formation complémentaire…je souhaite m’installer à mon compte mais manque de capital etc…
– Motivation « tournée vers les autres » : je vais pouvoir aider les enfants sans pour autant me priver, je vais pouvoir avoir une sociale et participer à plus d’activités etc…
A vous …

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4 – Les addictions – Mettre toutes les chances de son côté

4 – Les addictions – Mettre toutes les chances de son côté

Addictions

Mettre toutes les chances de son côté pour que votre décision ne soit pas parasitée

A votre rythme, votre réflexion murit et  j’espère qu’elle a porté ses fruits !
Ce mois de novembre sans tabac,  est une période propice à la poursuite  de votre introspection, sur comment et par quoi vous vous laissez mener par le bout du nez ! Nous allons donc faire le nécessaire pour que vous retrouviez votre liberté « chérie » et  adapter, modifier, changer, les habitudes, les comportements, le regard …et peut être, avoir de nouvelles envies, remettre au goût du jour, celles mises de côté, avant le confinement, avant les vacances, avant la rentrée…et qui sait, prendre de nouvelles décisions, pour  notre « mieux vivre », mieux être », et nous refaire une nouvelle « peau » !

Au fait ! J’ai une petite idée de motivation « Fumeuses et fumeurs, vous aurez économisé environ 600 euros pour Noel et fumer ne sera plus qu’un lointain souvenir ! »

Voici les trois astuces suivantes, pour diminuer voir stopper une addiction, plus exactement comment modifier votre comportement, (donner de nouvelles infos à votre cerveau afin d’éviter de déclencher « cette habitude, automatisme, réflexe ».

On continue ? On continue !

4 – En parler ou pas à son entourage !
VOUS avez CHOISI de vous défaire de VOTRE addiction qui n’a plus lieu d’être, vous empoisonne, empoissonne les gens qui vous entourent, vous coupe du monde ..etc, toutes les bonnes raisons pour lesquelles vous avez fait ce choix !
Il s’agit d’une démarche PERSONNELLE, et INDIVIDUELLE à la base !!! Vous le faites pour VOUS, le fait de « faire plaisir » est une motivation supplémentaire !

Si vous avez un entourage bienveillant et susceptible de vous encourager, de vous soutenir, de vous accompagner, et que vous avez envie de partager cette expérience avec eux, alors parlez leur en ! C’est une motivation supplémentaire.

Certains préfèreront faire face, seuls, parce qu’ils pensent que c’est un projet qu’ils doivent menés seuls et que ce n’est pas le rôle de leur entourage. D’autres pour éviter :

– les découragements ambiants » involontaires qui mettent une pression, et génèrent du STRESS :
« Tu prends une cigarette alors que tu as décidé d’arrêter de fumer, ça commence bien ! »
« Tu as déjà pris un carreau de chocolat aujourd’hui, non ? »

– les tentations provoquées consciemment ou inconsciemment, parce qu’on est humain et que si l’un essaie et réussit, cela nous renvoie que si l’on essaie il va falloir réussir !
« Un verre de plus ou un verre de moins, ça ne changera rien puisque tu as décidé d’arrêter…. »
« Une dernière …avant le grand saut » … etc

– les petits sarcasmes, qui vous blessent et gênèrent de la TRISTESSE ou de la COLERE :
« Tu as déjà essayé tu n’y es pas arrivé, alors j’attends de voir » … etc

Toutes ces « phrases »… vous renvoie à « Je suis nul », « Je ne suis pas capable », « Je ne termine jamais ce que je commence », « Je n’ai aucune volonté », « Il ou elle, ne m’adresse que des reproches, c’est que il ou elle ne m’aime pas »… FAUX, remettez les choses dans leur contexte !
Vous êtes capables de réussir à terminer avec détermination… mille choses dans votre journée et vous êtes appréciés, aimés pour toutes ces choses !!! Donc, la SEULE, que vous n’avez pas encore faite, c’est modifier votre comportement afin d’éviter de déclencher « cette habitude, automatisme, réflexe » qu’est votre addiction !!!
Le STRESS et les EMOTIONS sont vecteurs d’addiction, alors… INUTILE d’en rajouter !

5 – Se faire aider, soutenir ou accompagner : les causes d’une addiction sont multiples, et ancrées en vous sans que vous en soyez conscients et sans que vous puissiez ne serait-ce qu’imaginer que ceci a engendré cela.
D’autre part, cela vous apportera « des moyens » supplémentaires, pour gérer le stress provoqué par un « changement d’habitude », la culpabilité, provoquer par d’éventuels blocages, gérer « le déblocage » tant espéré, et évincer
«la cause profonde » qui a, à un moment de votre vie engendrée cette addiction.
Un « accompagnement » se choisit en fonction de son degré d’addiction, il ne s’agit pas de déstabiliser mais « d’étayer » une personne.

Addictions sévères et très sévères (Traitement et soutien psychologique) : Consulter votre médecin traitant, un psychiatre, le service d’addictologie d’un hôpital, afin de suivre un traitement approprié et/ou d’être dirigé vers un centre correspondant à votre besoin.

a)Prendre le rendez-vous (plus c’est rapide, mieux c’est ! Action/Réaction) avec votre « accompagnateur » : la démarche est très importante !
Vous avez CHOISI d’arrêter… vous avez CHOISI avec l’aide de qui vous réalisez cette expérience… vous avez la date.
b) Deux possibilités s’offrent à vous :
– Vous êtes fermement décidés et vous vous y tenez.
– Vous êtes fermement décidés et vous êtes en train de vous fabriquer bonnes excuses, peurs, stress ! C’est légitime ! De même qu’avec une mer agitée, vous gardez le cap ; rendez vous quand même au premier rendez vous et faites part à votre « accompagnant » de votre questionnement.
c) – Se rendre au rendez-vous : VOUS êtes maintenant à la moitié du chemin !

6 – Changer ses habitudes : faire en sorte que l’automatisme ne se manifeste pas !
Votre cerveau fait des associations : une action = « votre addiction ». Afin de casser ces habitudes, trouvez 6 possibilités (cela laisse le choix à votre cerveau de se procurer le plaisir équivalent à votre addiction) pour les remplacer.

Exemples : Une famille comme les autres…
Monsieur A. se réveille à 6 h, il le lève, prépare son café, et fume une cigarette en se préparant le second café, au troisième café il fume sa seconde cigarette, il dit avoir besoin de tout ça pour se réveiller malgré que ses enfants lui disent tous les matins que le tabac froid ne sent pas bon ! Il se rend sur son lieu de travail, avec sa voiture, qui sent elle aussi le tabac, malgré qu’il prenne bien soin de fumer les fenêtres ouvertes afin de ne pas sentir trop le tabac en arrivant au bureau, malgré le cendrier presque plein, sur le trajet, il s’arrête au bureau de tabac et arrive au bureau à 7 h30. Après un autre café, il sort fumer sa cigarette puis se rend dans son bureau, après s’être repris un café en passant devant la machine de son étage. Il est 8 h, lecture des mails, arrivées des collaborateurs (bonjour, je vais me chercher un café, tu en veux un ? Oui merci), rendez-vous (voulez-vous prendre un café, oui), 10h 30, aubaine, un coup de fils à passer, Monsieur A. sort passer son appel téléphonique dehors en fumant sa cigarette, puis regagne son bureau en reprenant un café au passage. 12h30 déjeuner avec un collègue, Monsieur A. ne boit pas de vin le midi car il fait attention à sa santé, à la fin du repas café, cigarette. 14 h retour au bureau, il reprend un café…et reçois ses rendez vous (+1, +2 café), 17 h réunion, aubaine, tout le monde a pris un peu de retard, et j’ai un coup de fils à passer, pendant que je m’offre une cigarette. 17h15 réunion, sortie 18 h 30, lecture d’un dossier urgent. 19h30 en route pour la maison, Monsieur A. s’arrête dire bonjour à ses parents et en profite pour boire son premier verre d’alcool de la journée, puis un deuxième (+4 cigarettes) ; 20h15 retour à la maison, Madame A., a comme tous les soirs préparé, un bon repas avec des produits de qualité et équilibré pour toute la famille, en attendant que tout soit prêt, Monsieur A. se sert son troisième verre et une cigarette, tout en discutant avec sa fille de son problème de poids en lui offrant de partager ses chips.
20h30 « A table » repas équilibré, un verre de vin pour trinquer avec son épouse, un verre pour accompagner le fromage, il ne prendra pas de dessert comme il fait attention à sa santé, donc il offre gentiment sa part à sa fille qui est gourmande et que son fils surveille de manière drastique son alimentation car il est très sportif et met un point d’honneur à avoir une hygiène de vie parfaite, être en pleine forme pour s’entraîner encore et encore, pour remporter tous les championnats et que son père qui réussit tout le temps tout, soit fière de lui ; par contre il aurait volontiers pris un carreau de chocolat en regardant une émission ( + 3 cigarettes) mais malheureusement la tablette qu’il a entamé la veille s’est fait croquée par Madame A. dans la journée, entre deux clients, comme tous les jours.

Je vous laisse faire le compte de ce que Monsieur A. et sa famille consomme dans une journée « classique ».

Changement d’habitudes
Jour J pour Monsieur A., après avoir pris conscience que malgré le fait qu’il essaie de prendre soin de sa santé, et de montrer l’exemple à sa famille, il est tout de même addicte à la cigarette, au café, à l’alcool, que son épouse est addicte au chocolat, sa fille à le nourriture et son fils au sport ! Donc aujourd’hui, je me reprends en main en modifiant mes habitudes :
1er jour :
Je décide aujourd’hui que je ne fume plus dans les espaces clos, voitures,
maisons, bureau.
Nettoyer la voiture et y laisser un paquet de bonbons à la menthe forte sans sucre puisque j’ai décidé que désormais je prends un bonbon pour le trajet (- 4 cigarettes)
Ranger les cendriers de la maison, puisque désormais je ne fume plus dedans. (– 2 le matin, – 2 chez les parents, – 3 le soir) ; cependant, on en garde une le matin, une en rentrant, et une en soirée à fumer dehors.

2eme jour :
Je décide aujourd’hui que désormais je ne fumerai pas avant d’être au bureau, donc -1

2 changements d’habitudes = 12 cigarettes en moins

3éme jour :
Plein de bonne volonté et parti sur sa lancée, Monsieur A. décide de modifier son comportement vis-à-vis de l’alcool.
1- Monsieur A. va aussi modifier son comportement avec l’alcool, sans priver ses parents de sa visite et du partage d’un bon whisky avec eux, alors il explique qu’avec ses nouvelles résolutions pour prendre soin de sa santé, deux verres c’est trop, il en prendra deux petits avec de la glace ou de l’eau pétillante etc… -1
2- Désormais en rentrant, il prend directement un verre vin avec son épouse qui termine le repas, en discutant de leurs journées. – 2 cigarettes – 1 verre – 1 grignotage pour lui et pour sa fille.
3- En modifiant 3 habitudes, il a considérablement diminué sa consommation de tabac, et n’a donc plus besoin de faire un détour quotidien pour aller au bureau de tabac, il peut désormais aller au bureau un jour sur deux, à pied, 20 mn aller, tout en s’arrêtant quotidiennement chez ses parents et en ayant une activité physique régulière.

A vous de mettre en place vos « modifications » de comportement, simples, sans que celles-ci se transforment en contraintes, munissez de ce dont vous avez besoin pour ne pas en manquer, tenez vous à vos nouvelles décisions, ajustez les si nécessaire.

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Hypnose et Arrêt du tabac  : Les bienfaits

Hypnose et Arrêt du tabac : Les bienfaits

Arrêt du tabac

Je vous invite à découvrir l’arrêt du tabac avec l’hypnose, cette méthode naturelle est connue et reconnue pour son efficacité pour l’arrêt du tabac, ainsi que pour la gestion du stress et du poids.

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« Nul doute que vous savez déja qu’arrêter de fumer est bon pour votre santé ; cependant, savez vos que les premiers résultats se font sentir très vite ! »

Après 20 minutes
Le rythme cardiaque et la pression sanguine diminue. Votre tension artérielle baisse. Votre pouls ralentit, la circulation sanguine s’améliore.
Après 12 heures
Le taux de monoxyde de carbone dans le sang revient à la normale : vous avez donc plus d’oxygène dans le sang, une vraie bouffée d’air frais pour vos organes.
Après quelques jours
Vos papilles gustatives retrouvent leur sensibilité : le gôut et l’odorat s’améliorent
Après deux à 12 semaines
La circulation sanguine s’améliore et la capacité pulmonaire s’accroît ; vous êtes plus tonique, votre peau plus lumineuse.
Après un à neuf mois
La toux s’est estompée, le souffle s’allonge
Après un an
Le risque d’infarctus est deux fois moins élevée que celui d’un fumeur ; votre coeur et vos artères fonctionnent mieux, le risque d’AVC diminue.
Après cinq ans
Le risque d’AVC redevient égal à celui d’un non-fumeur
Après 10 ans
Le risque de cancer du poumon, de la vessie, de la bouche, tombe à la moitié de celui d’un fumeur

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3 types de relations

3 types de relations

Changements, bouleversements, crises

 Nous sommes confrontés toute notre vie à 3 sortes de relations.

1-La relation à soi
Elle est la base de toute notre existence mais elle est aussi la plus complexe.
Partagés entre notre éducation quant à l’amour de soi et les blessures que nous portons depuis des années, voire même, des générations, il nous est difficile de stabiliser la relation à nous même.
Afin de trouver un équilibre, plusieurs axes de travail s’offrent à nous pour apprendre à se connaître et à mieux se comprendre :

– Amour, confiance en soi, estime de soi
– Rapport au corps
– Gestion des émotions
– Guérir du passé
– Faire de soi sa priorité

2-La relation aux autres
Relations amicales, professionnelles, sociales, familiales, de couple, engendrent quelques fois de comportements non adaptés, d’une mauvaise communication, de jalousie, souffrance, isolement ….Comprendre ce qui nous fait souffrir, nous rend agressif ou timide, ou, au contraire, ce qui nous rend heureux permet de construire des relations plus saines et plus simples :

– Communication
– Poser ses limites
– Se détacher du jugement
– Gestion des conflits
– Relations amoureuses et familiales
– Choisir son entourage

3-La relation au monde, la relation à la vie
La relation au monde peut avoir une dimension plus philosophique voire spirituelle.
Notre raison d’être, nos croyances, notre foi, l’idée que l’on se fait du bonheur, le sens que l’on donne à notre vie, toutes ces choses ne sont que quelques exemples de concepts qui nous permettent de voir plus grand et de nous élever.

Chacun décide de ce qui l’accompagne et chacun peut évoluer comme il le souhaite.
– Gratitude
– Résilience
– Lâcher prise
– Spiritualité
– Contribution
– Avoir un impact sur la société

Estime de soi

Votre épanouissement personnel, professionnel, amoureux et physique passe par la manière dont vous vous considérez. 

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Habitudes, automatismes, attachements, dépendance

Habitudes, automatismes, attachements, dépendance

Arrêt du tabac

Se détacher, c’est difficile ? oui

Pourquoi ? Parce nous sommes formatés pour nous attacher et donc toute notre vie est faite d’attachement, et nous y sommes attachés.

1/ Prendre conscience que tu es attaché à tes attachements et te détacher du fait de vouloir te détacher.

2/ A quel point tiens tu à ces attachements, pourquoi y tiens tu, sont ils devenus une partie de ton identité, comme parles tu de toi ?

 

Perdre tes attachements, ce serait comme perdre une partie de toi, n’est-ce pas ?

Mais croire que “tu es” tes attachements est une erreur.

Voici une étape intéressante :

Demande-toi…

Qui es-tu vraiment ?

Sans tes attachements, restes-tu toi-même ?

S’intéresser à tes attachements va bien au-delà de l’attachement lui-même.

Cela te révèle comment tu fonctionnes.

Et qui tu es réellement.

Comment faire ?

Comme dit précédemment.

 

Pose-toi ces 3 questions :

À quoi suis-je attaché ? Pour savoir, demande-toi “si je perdais cette personne ou chose, est-ce ok ?”

Suis-je attaché à cet attachement ?

Suis-je identifié à cet attachement ?

Observe tout cela de près.

N’aie pas peur.

Cela peut sembler terrifiant.

Mais c’est en réalité très libérateur.

Bien à toi,

 

Dans notre parcours de vie, il est souvent difficile de se détacher. Nous sommes profondément enracinés dans nos attachements, qu’ils soient à des personnes, des possessions matérielles ou des idées, sur soi, les autres ou les choses de la vie en général. Ces liens deviennent parfois si forts que nous nous identifions à eux, oubliant qui nous sommes réellement au-delà de ces attaches.

La première étape du détachement est la prise de conscience. Prendre le temps de réfléchir à nos attachements et à leur influence sur notre vie, est essentiel. Combien de fois avons-nous ressenti de la douleur ou de la peur à l’idée de perdre quelque chose ou quelqu’un à qui nous sommes attachés ? Cette réaction instinctive révèle à quel point nous sommes dépendants de ces attaches pour notre bonheur et notre sécurité. Il en est de même mais « inconsciemment » cette fois-ci, pour notre attachement au grignotage, au tabac, au poids, en y réfléchissant vous découvrirez que bien malgré vous maintenant, vous êtes attachés à votre grignotage, à votre cigarette, à votre surpoids.

Il est crucial de se demander pourquoi nous sommes si attachés à ces éléments. Est-ce parce qu’ils font partie intégrante de notre identité ? Sommes-nous incapables de nous imaginer sans eux ? Cette introspection peut être déconcertante, mais elle est nécessaire pour comprendre notre propre fonctionnement.

Une fois que nous avons identifié nos attachements, nous pouvons commencer à nous interroger sur leur véritable importance dans notre vie. Si nous devions les perdre, serions-nous toujours complets ? Le simple fait de poser ces questions peut nous aider à prendre du recul par rapport à nos attachements et à réaliser qu’ils ne définissent pas entièrement qui nous sommes.

La prochaine étape consiste à se demander qui nous sommes vraiment au-delà de nos attachements. Sans eux, quelle est notre essence ? Cette réflexion nous amène à nous connecter avec notre moi authentique, libéré des contraintes de nos attachements.

Pour entamer ce processus de détachement, nous pouvons nous poser trois questions importantes :

  1. À quoi suis-je attaché ? En imaginant la perte de cette personne, chose ou habitude, sommes-nous sereins ?
  2. Comment suis-je attaché ? En imaginant la perte de cette personne, chose ou habitude, sommes nous toujours nous-même ?
  3. Suis-je attaché à cet attachement lui-même, ou est-ce sa présence qui me rassure ?
  4. Suis-je identifié à cet attachement au point qu’il influence ma perception de moi-même ? (Comment parlez vous de vous ? Ex : je suis « gros (se), je suis dépendant (e), je vais vous décevoir, je suis nul(le)

En répondant honnêtement à ces questions, nous commençons à déconstruire les barrières que nos attachements ont érigées autour de nous. Ce processus peut sembler effrayant, mais c’est en réalité une source de libération. Se détacher de nos attachements nous permet de retrouver notre véritable essence et de vivre dans un état de liberté assumée.

En conclusion, le chemin vers le détachement n’est pas facile, mais il est indispensable lorsque l’attachement génère de la souffrance et nuit à notre épanouissement personnel. En prenant conscience de nos attachements, en remettant en question leur importance et en nous faisant confiance, nous pouvons trouver la paix, la liberté et l’équilibre que nous recherchons tant.

 

 

Je vous propose de vous libérer de vos attachements par une méthode alliant hypnose et PNL, connue  pour son efficacité pour la gestion des émotions, du stress, des addictions et du poids, le déblocage émotionnel ainsi que les modifications de comportement.

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Hypnose et Arret du tabac : Comment ça marche

Hypnose et Arret du tabac : Comment ça marche

Arrêt du tabac

L’ hypnose et arrêt du tabac : l’hypnose est une méthode connue et reconnue pour son efficacité pour arrêter de fumer, ainsi que pour la gestion du stress et du poids.

Elle peut être une option intéressante pour les personnes qui ont déjà essayé d’arrêter de fumer sans succès avec d’autres méthodes..

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L’hypnose est une technique thérapeutique

Elle peut être utilisée pour vous aider à arrêter de fumer. Elle fonctionne en induisant un état de relaxation profonde et de conscience modifiée, dans lequel le subconscient est plus réceptif aux suggestions.

Lors d’une séance d’hypnose pour arrêter de fumer, nous identifierons les raisons pour lesquelles vous fumez, les déclencheurs qui vous poussent à fumer et les avantages que vous obtiendrez en arrêtant de fumer. Dans un second temps, j’utiliserai des suggestions hypnotiques que nous aurons préalablement défini ensemble afin de vous aider à changer vos comportements et vos pensées liés au tabac.

L’hypnose est une méthode efficace pour arrêter de fumer.

Des études ont montré qu’elle peut augmenter les chances d’arrêt de fumer de 2 à 3 fois par rapport aux méthodes traditionnelles.

Comment fonctionne l’hypnose pour arrêter de fumer ?

L’hypnose fonctionne en agissant sur le subconscient, qui est la partie de l’esprit qui contrôle nos habitudes et nos comportements. Lorsque nous sommes hypnotisés, nous sommes dans un état de relaxation profonde et de conscience modifiée, dans lequel le subconscient est plus réceptif aux suggestions.

Le thérapeute utilisera des suggestions hypnotiques pour aider le patient à changer ses comportements et ses pensées liés au tabac. Par exemple, le thérapeute peut suggérer au patient qu’il trouve le goût du tabac désagréable, qu’il ressent des symptômes de sevrage minimes ou qu’il a plus d’énergie et de motivation lorsqu’il ne fume pas.

Quels sont les avantages de l’hypnose pour arrêter de fumer ?

L’hypnose offre un certain nombre d’avantages par rapport aux méthodes traditionnelles d’arrêt du tabac.

Elle est :

  • Plus efficace : Des études ont montré que l’hypnose peut augmenter les chances d’arrêt de fumer de 2 à 3 fois par rapport aux méthodes traditionnelles.
  • Plus rapide : L’hypnose peut aider les gens à arrêter de fumer en quelques semaines ou quelques mois, alors que les méthodes traditionnelles peuvent prendre plusieurs mois ou même des années.
  • Moins difficile : L’hypnose peut rendre le processus d’arrêt du tabac plus facile et moins pénible.

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Qui peut bénéficier de l’hypnose pour arrêter de fumer ?

L’hypnose est une option efficace pour arrêter de fumer pour les personnes de tous âges et de tous niveaux de dépendance. Elle est particulièrement recommandée pour les personnes qui ont déjà essayé d’arrêter de fumer sans succès avec d’autres méthodes.

 

 

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Hypnose et Arret du tabac : Ce que contient une cigarette

Hypnose et Arret du tabac : Ce que contient une cigarette

Arrêt du tabac

Je vous propose un arrêt du tabac avec l’hypnose, cette méthode est connue et reconnue pour son efficacité pour l’arrêt du tabac, ainsi que pour la gestion du stress et du poids.

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Le tabac contient plus de 3500 principes actifs, dont le principal est la nicotine, fortement addictif.
Cet alcaloïde possède un effet éveillant, anxiolytique et coupe-faim. La nicotine atteint un pic de concentration dans le cerveau deux minutes après la prise, elle s’y maintient pendant 20 à 40 minutes, selon les régions cérébrales.
Le tabac correspond à une famille de plantes originaires d’Amérique. Il est utilisé par les peuples indigènes dans l’Amérique précolombienne, du Brésil au Canada, pour ses propriétés médicamenteuses, mais aussi comme engrais et insecticide. Son usage se répand dans le monde suite à la découverte de l’Amérique par les Européens. Le principal moyen de le fumer et de très loin, la cigarette. Arrêt du tabac Méthode détaillée

Quels sont les composants de la cigarette ?
On y retrouve la nicotine, les goudrons, mais aussi des gaz toxiques (monoxyde de carbone, oxyde d’azote, acide cyanhydrique, ammoniac, insecticides) et des métaux lourds (cadmium, plomb, chrome, mercure). La nicotine, qui se contente de provoquer la dépendance. Environ 4000 substances toxiques sont produites lors de la combustion (losque vous l’allumez). Le fabriquant ajoute le sucre, les agents de saveurs etc

 

1-Niveau d’addiction et mécanisme

2 – Astuces pour votre préparation au changement

3-Comprendre le mécanisme, évaluer le côut, trouver sa motivation

4- Mettre toutes les chances de son côté pour que votre décision ne soit pas parasitée

Quel est l’impact sur la santé ?

Un petit rappel, les substances toxiques contenues dans la cigarette provoquent  l’artériosclérose qui est l’altération des parois des artères, et qui peut occasionner des infarctus ou des accidents vasculaires cérébraux, des cancers notamment du poumon, des voies aérodigestives supérieures et de la vessie, ainsi que d’autres affections des voies respiratoires, comme les bronchites chroniques, les emphysèmes… Mais ça, vous le saviez déja !

 

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Chromothérapie, les couleurs de la vie !

Chromothérapie, les couleurs de la vie !

Naturopathie

La chromothérapie est une spécialité de la luminothérapie.

Ses bienfaits reposent sur les effets de la projection de la lumière et la perception psycho-émotionnelle des couleurs afin d’accéder un état optimal de bien-être physique et mental. 

La lumière est constituée d’une gamme d’ondes électromagnétiques que nous percevons visuellement sous forme de couleurs. La chromothérapie utilise 12 couleurs du spectre visible de la lumière. Chacune dispose d’une qualité et d’une quantité d’énergie qui lui est propre et agit sur les plans physique et psychique en induisant des effets stimulants, équilibrants ou apaisants selon les                                                                                     besoins.

Les bienfaits de la lumière et des couleurs sur le physique et notre mental

  • On aime les couleurs qui correspondent à nos besoins, à ce qui nous renforce, à ce qui nous rétablit,
  • On n’aime pas les couleurs qui correspondent à ce qui nous fait souffrir, nous perturbe, nous affaiblit.

Les couleurs de la stimulation, de la tonification,du dynamisme, de l’expansion et du développement

  • La lumière rouge stimule la vitalité, l’énergie, le tonus et l’activité physique, le courage, la force, l’engagement, la combativité, l’ancrage dans les réalisations mais aussi le sang, le feu, la chaleur, la survie. Cette couleur tonifie, dynamise, fortifie.
  • La lumière orange amène la stimulation, la sensualité, le contact, le mouvement , le rythme, la gaieté, stimule l’adrénaline, le moral, la créativité, la libération émotionnelle.Cette couleur est antichoc, dopante, antidépresseur.
  • La lumière jaune est un stimulant digestif et lymphatique, agit sur la digestion, l’estomac, stimule l’intellect, l’expression, la lucidité, l’esprit d’analyse et l’affirmation de soi. Elle est la couleur su soleil, de la clarté, de la lumière, de la conscience.

Les couleurs de l’équilibre, de la purification, de la pondération, de l’harmonie et de la régulation

  • La lumière verte claire apaise les émotions, facilite l’ouverture, le passage, l’apprentissage, la curiosité, la flexibilité. Elle a des propriétés anti-allergique et une action sur les articulations, la vesicule biliaire et la vision.
  • La lumière verte vous invite à la proximité avec la nature, l’estérieur, l’indépendance, la liberté, la solitude, l’équilibre.Elle a des propriétés antibiotique, antifongique, équilibrant endocrinien.
  • La lumière turquoise aideà la transformation et à l’évolution, à surmonter les périodes de bouleversmements et le deuil, à faire face aux changements,  permet plus de fluidité. Elle a des propriétés « nettoyantes », facilite l’élimination des toxines des émonctoires.

Apaisement, modération, concentration,intégration.

  • La lumière bleu-ciel  incite à une communication verbale, au partage, à l’écoute. Elle a des propriétés anti-inflammatoire et incite au ralentissement de l’activité physique.
  • La lumière bleu outremer vous invite à la sérénité, au calme, à l’introspection, à la tempérance, à l’intuition. Elle a des propriétés anti-stress et stimule les endorphines.
  • La lumière bleue foncée invite à l’introspection, l’intégration, l’harmonie. Elle a des propriétés anxyolique, antibactériennes, hémostatiques.

Renforcement, cicatrisation, structure, constitution.

  • La lumière violette est une invitation à la spiritualité, la connaissance, l’orientation,l’esprit, l’autorité.Elle a des propriétés immunostimulantes, facilite la circulation veineuse, apaise les migraines.
  • La lumière magenta est une invitation à l’amour, l’affection, l’union, la conception, l’esthétique, le rève, la vulnérabilité.Ses propriétés sont rajeunissantes, équilibrantes, sur les plans énegétique et cardiovasculaire.
  • La lumière écarlate vous invite à la communion avec la terre, l’enracinnement, la fertilité, la féminité, la stabilité, la sécurité. Elle a des propriétés cicatrisantes, régérantes, régularise la circulation et stimule la matrice.

Harmonie des couleurs, harmonie de la vie

La chromothérapie est une discipline humaniste, visant à remettre l’humain en harmonie avec ses sensations, ses émotions et son corps pour qu’il retrouve ou conserve un équilibre général.

 

 

Chromothérapie

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La phrase du jour ….

La phrase du jour ….

Reflexion/Inspiration

Bonjour,

Notre phrase du jour :
Oser… c’est se donner la possibilité de faire quelque chose de différent, c’est franchir le fossé, entre habitude et aventure !

Et si c’était le meilleur moment pour oser

Il n’est pas indispensable que ce fossé soit immense, bien au contraire d’ailleurs ! Oser… cela peut être, échanger un sourire, accépter de prendre un café, demander un renseignement, s’accorder une pause… et bien évidement cela peut être « gravir le Mont Blanc », « monter son entreprise », « changer de vie » … »Oser » pour les uns, n’aura pas la même signification que pour les autres ; l’important est de « Oser » chacun à son rythme, selon ses attentes. Vous êtes unique, vos besoins ne correspondent qu’à vous !

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Demander, c’est se donner la chance de savoir pour comprendre et agir en conséquence, c’est aussi donner la possibilité à l’autre de s’exprimer plus clairement et d’être entendu, compris !
Beaucoup associent le fait de demander avec « on va penser que je suis bête, je n’ose pas, il n’y encore que moi qui n’ait rien compris … »
Si la situation n’est pas claire, demandez un complément d’informations, un exemple factuel précis, une explication… alors vous vous serez donné la possibilité de partir sur la bonne piste et d’ avancerez dans la bonne direction…
Trés belle journée à vous !

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Essayer, c’est se donner la chance d’apprendre, de progresser, d’avancer, et de réussir !!!

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Gemmothérapie : Période de fatigue

Gemmothérapie : Période de fatigue

Naturopathie

Naturopathie : Pensez à la gemmothérapie

« Coup de barre », « Fatigue », « Raplapla »….

La gemmothérapie (branche de la phytothérapie) consiste à utiliser les bienfaits des jeunes plantes (bourgeons) en cure préventive ou curative, sous forme de macérat. Elle est très facile à utiliser puisqu’elle s’effectue par la prise de gouttes.

Convalescents, étudiants surmenés, travailleurs fatigués

Le cassis (⛔femme enceinte) a une action revitalisante sur les organes en général, ainsi qu’une action stimulante de l’activité surrénalienne. A prendre au réveil 5 à 15 gouttes pendant 3 semaines.

Surmenage, fatigue hormonale, fatigue sexuelle, convalescence, épuisement, intersaisons

Le chêne (⛔femme enceinte⛔de cumuler plusieurs cures sans pause ) est dynamisant pour tout l’organisme. 5 à 15 gouttes par jour pendant 21 jours.

Fatigue cérébrale, pensées en boucle, hyperactivité mentale, troubles de la mémoire ou de la concentration, surmenage intellectuel

Le pommier(⛔femme enceinte ⛔cancer hormonodépendant) ramène à un équilibre, un apaisement qui permet l’accès à la détente et à une meilleure récupération. Cumul de 2 cures de 21 jours en intégrant une pause de 7 jours entre la 1ere et la seconde de 5 à 15 gouttes par jour.

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Motivation : Rappel des bienfaits de l’activité physique sur votre santé psychique et mentale

Motivation : Rappel des bienfaits de l’activité physique sur votre santé psychique et mentale

Naturopathie

Petit rappel pour grande motivation !

Bien sûr que vous êtes convaincus des bienfaits de l’activité physique sur votre santé physique et mentale. Malheureusement cela ne suffit pas. Vous manquez de temps, traînez des pieds, vous êtes fatigués, débordés, préoccupés, voire tressés, mal en point, tous ces « contre temps », sont pourtant les meilleures raisons de vous y mettre !

En effet, le meilleur moyen de, retrouver la forme, soulager ses douleurs, est la pratique d’une activité physique régulière trois fois par semaine, de 30 à 45 minutes.

Petit rappel des bienfaits :santé physique et santé mentale

  • amélioration du sommeil.
  • gestion du stress
  • réduire l’anxiété et la dépression
  • retrouver de l’énergie et de la vitalité
  • booster son estime de soi
  • amélioration et régulation de l’humeur
  • oxygéner son corps et son cerveau
  • éliminer les toxines
  • perte ou maintien d’un poids stable
  • prévention des maladies cardiovasculaires, diabète de type deux, des maladies neurodégénératives
  • renforcement du système ostéoarticulaire
  • prévention de l’ostéoporose
  • augmentation de la masse musculaire
  • renforcement du système immunitaire
  • régulation hormonale
  • amélioration de la circulation sanguine et lymphatique
  • amélioration de l’énergie et de la vitalité
  • équilibre du microbiote intestinal
  • régulation de l’équilibre acidobasique

« Activité physique » ne veut pas forcément dire sport ! Balade en forêt, cueillette, un tour de vélo avec les enfants, une partie de ballon, du jardinage….. être actif et prendre l’air !

Prévention santé

 

 

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